23 avril 2007
Frédéric (Valence, 26)
Depuis toujours, j’ai en tête la devise que l’avenir appartient aux gens qui se lèvent tôt.
Pour ma part, les grasses matinées, levé à plus de 7h30 par an, se comptent sur les doigts de mes deux mains.
Notre avenir était loin d’être préservé, désormais je suis convaincu qu’il nous est compté.
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